lundi 16 janvier 2012

Mes petites merveilles. 










Le temps.



On rencontre, on aime, on passe du temps dans ses bras, on passe ses mains dans ses cheveux, on regarde au fond de ses yeux. On s'amuse, on s'apprend, et puis on trébuche une première fois. On se rend compte après un sourire que ce quelqu'un, cet obstacle qui nous a fait trébucher, c'est bien plus qu'une dalle mal fixée. Ça devient alors de l'oxygène, une nécessité. Et puis parfois cet oxygène vient à manquer... Quelqu'un d'autre le respire avec toi. On trébuche une deuxième fois, quand cet oxygène finit par disparaître. Mais cette fois-ci, on ne se relève pas sans séquelles.  



jeudi 5 janvier 2012

Montpellier.

Un motif de rêverie, un tas d'idée que l'on se fait de cette ville, "là-bas".  
On se rend compte que ce nom, ce qui a fait venir, ce qui a fait rêver, s’il recouvre bien toute la ville, n’en désigne vraiment que le noyau originel. C'est en fait un ensemble de possibles, une réserve de sens en jachère, de signes que chacun articule, anime, assemble, et occulte à sa façon en la découvrant. 







Montpellier.

Make up your mind.

Nous tenons tous à la douleur, parce que c'est la seule chose qu'on nous laisse.



" sometimes, the hero finally makes the right choice. But the time is all wrong ! "


vendredi 23 décembre 2011

Bolas



 Peut-être, un jour, te parlerai-je de ces petites choses qu'on aime sans explications. Ces petites merveilles qui toujours nous donnent le sourire. Elles filent, il est vrai, parfois avec le temps, parfois entre nos mains. Elles s'échappent, glissent ou se perdent. Elles sont belles, nous font découvrir l'ailleurs et puis ce qu'on est devenu. Peut-être, un jour, te parlerai-je de ces petites choses qui peuvent construire une personne. Ces petites merveilles qui nous donnent le sourire. On ne sait pas les retenir, on s'y attache pourtant. Ces petites choses, ces petits moments se consument, on les regarde s'enflammer, impuissants; ils disparaissent et seules restent les cendres, nos souvenirs. 


lundi 19 décembre 2011

Musique

J'ai commencé à poser mes doigts sur un piano alors que j'étais toute petite. Pas vraiment par choix.
Après quelques années, ça a commencé à m'amuser, à me détendre.
J'ai découvert les morceaux à 4 mains et la complicité qui s'en écoule.



J'ai découvert qu'on pouvait s'amuser à improviser, à jouer soi-même un morceau dont on ne trouve pas la partition et à donner l'envie aux autres. Leur apprendre ce qu'on sait, les voir s'y investir.



A propos de vous ?